Tous ces jeunes ont une vocation commune : devenir les futurs chefs de l’armée de Terre, prêts à servir la France grâce à une « formation emprunte d’exigence et de discipline » dispensée au sein de l’EMAC.
François Xavier, qui a choisi l’arme du génie, affirme : « Je souhaitais servir mon pays, avec un métier d’action, d’engagement et de la camaraderie. J’ai choisi la spécialité du génie car je voulais une arme polyvalente, technique, au cœur de l’action ».
Hugo, futur pilote de l’Aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) : « Depuis que je suis petit, j’ai un attrait pour le monde de l’aéronautique (…). M’engager était le choix logique pour associer la passion de l’aéronautique avec celui de servir son pays. Pourquoi officier ? Pour les responsabilités. J’avais envie d’aventure, de dépassement et de vivre une expérience unique que seule l’armée de Terre offre ».
Vincent, dans les transmissions : « Après avoir préparé un diplôme BAC+5 en école d’ingénieur, j’ai pu bénéficier d’une bourse à hauteur de 10 000 brut/an. L’étude des télécoms et du satellitaire, les stages effectués dans la guerre électronique, m’ont poussé à choisir les transmissions ».
Et Zoé du matériel : « Depuis l’âge de 10 ans je souhaite m’engager au sein de l’armée de Terre. La journée des portes ouvertes du 3e régiment d’hélicoptères de combat m’a donné un déclic. Au cours de ma période d’activité de réserve, j’ai pu échanger avec une officier mécanicien issue du matériel qui m’a présenté son métier et les possibilités associées. Je suis heureuse d’être ici car c’est la concrétisation d’un projet de longue date ».
Nous pouvons être fiers de nos jeunes engagés. Ils sont aujourd’hui en formation à l’EMAC et nous leur souhaitons le meilleur.